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Amiel
et les
medias
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Dialogus
Ils sont partis et pourtant vous avez encore des
questions. Gainsbourg, Machiavel, Desproges, Aphrodite,
Tintin, Le Petit Prince, Breton, De Gaulle, Morrison,
César, Dieu, Guitry, Jeanne d'Arc, Marx et Cobain
reprennent le dialogue de là-haut,
répondent aux questions que les Terriens se posent
sur leur vie d'alors, leurs doutes, leurs amours, leur
mort.
Le ton y est, les références aussi:
dialogus2.org fait fort. Mieux: il fait rire. - (webdo
avril 2002)
Henri-Frédéric Amiel les a
rejoint en janvier 2005 ! ! !
Agota
Kristof......
Plus loin : sa chambre à coucher. A
côté d'une commode, deux planches en bois
supportent bien quatre mètres de livres,
légèrement avachis les unscontre les
autres. Là, l'écrivain esquisse un sourire
à peine feint :
"Voilà, c'est la bibliothèque Agota
Kristof". Au milieu de ces livres, Agota Kristof affiche
une attitude invariablement retranchée, comme si
leur présence avait été
amenée là une nuit pendant son absence. Le
visiteur reprend malgré tout espoir lorsqu'il
découvre le Journal intime du Suisse Henri
Frédéric Amiel. On imagine qu'elle
a dû apprécier. "Je ne sais pas, je ne l'ai
jamais ouvert." Curieuse impression de distance,
d'indifférencecomme si les lectures des autres
n'offraient aucune espèce de salut, de
délivrance, que seule, peut-être,
l'écriture et elle seule parvient à
sublimer.
La
lettre de la sécurité informatique du13
décembre 2000.....
Vulnérabilité dans les serveurs ColdFusion
Oxygen3, par Panda Software.
« Mille choses avancent et neuf cent
quatre-vingt-dix-neuf régressent. C'est ce qu'on
appelle le progrès. »
Henri Frederic Amiel (1821-1881) ; auteur et
professeur helvétique.
Pop
Culture jeudi 23 août 2001.......
Amiel se construit ainsi un double virtuel dans
l'épaisseur du papier, de la même
manière qu'internet aspire à construire un
double du monde réel. «Tout en moi est
virtuel», écrit d'ailleurs Amiel le 16
février 1855, ce qui pourrait faire de lui
le Neil Armstrong du cyberespace. Amis internautes,c'est
épatant, non?
La
Jeune Harmonie de Chernex
Le mot de la fin à Henri-Frédéric
Amiel (écrivain genevois du
XIXème): "C'est ici, c'est Chernex, mon nid dans
les halliers. L'asil aimable et doux où mon loisir
s'arrête: Les Pléiades, Caux, l'Arvel sont
sur ma tête. Chillon, Vevey, Clarens, Montreux sont
à mes pieds".
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