Avec toutes leurs
beautés, les poètes anciens ne
peuvent décidément pas nous
suffire. Il leur manque un
sens, le sens des modernes, le sens spirituel,
le sens de
l’infini. Leurs horizons nous
étouffent, leur morale nous
est trop mesquine ; ils n’ont rien à
dire de nos besoins
les plus pressants, les plus sérieux, les
plus poétiques.
Leur homme n’est plus le nôtre. On
reconnaît que le
monde a changé, qu’un rideau a
été tiré.